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Ne jugez jamais un livre à sa couverture [100%]

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My Hero Academia
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MessageSujet: Ne jugez jamais un livre à sa couverture [100%] Ne jugez jamais un livre à sa couverture [100%] EmptyDim 4 Sep - 15:29

❝ Alexiel Heargreaves ❞



Pouvoir
Earthbending : Parce que petite poupée de porcelaine que tu es, devenue aveugle lors de tes 4 ans, tu as créé un lien puissant avec la terre. Ce pouvoir te confère une capacité sismique rare. Avec ce « don », tu es capable de "sentir" les vibrations les plus infimes sur la terre tels que, le déplacement de fourmis, la présence d'arbres et de bâtiments. Grâce à ce sens sismique accrue, tu peux visualiser où les gens se trouvent, leur distance par rapport à toi, leur constitution physique, sans pour autant être capable de visualiser leurs visages. Cette capacité est un atout, car, en pressentant les attaques qui viennent à toi, tu peux réagir en conséquence. En effet, tu uses de ton sens sismique afin de pouvoir sentir ton environnement afin d’anticiper les mouvements et attaques de ton ennemi. En outre, tu as aussi démontré une capacité à détecter le moment où une personne est « couchée » via les vibrations du son / son rythme cardiaque dû à sa respiration. Ceci dit, cela ne veut pas dire que tu détectes tous les mensonges. Cependant, très peu de gens ont la capacité de mentir tout en manipulant leur respiration et le pouls de cette façon qui se répercute sur la terre.

Tu as la capacité de contrôler la terre avec cet alter à l’aide de tes pieds dénudés, mais aussi de tes mains. Avec cette capacité, tu peux créer des colonnes de terre, des barrières, une armure, tu peux créer un trou dans la terre, dans la roche, ou t’engouffrer à l’intérieur pour fuir l’ennemi que tu refermes derrière toi comme si, aucun dégât n’avait été fait. Tu peux aussi projeter des rochers ou des morceaux de terre ainsi que les arrêter sans la moindre difficulté. Qu’importe la taille, tu es aussi connue pour être capable de créer de légers séismes et te déplacer grâce à la Terre que tu considères comme ta mère. Tu complètes cette capacité avec ta maitrise du Wing Chun et du Tai-Chi. Tant qu’il y a de la terre, ta faiblesse est ton énergie et ton imagination.

Ses limites Cependant, parce que poupée de porcelaine, tu es dépendante des vibrations dans la terre, tu es assez vulnérable aux attaques à base d'air. Tu ne peux que te baser sur ce que tu entends ce qui est difficile. Ton taux de réussite dans l’interception des projectiles est également lié à ta détection de vibrations, être capable de sentir le mouvement d'un adversaire, et procéder en conséquence. Tu ne peux pas viser correctement un adversaire qui « vole » ou qui se tient au-dessus de toi dans les airs ou en hauteur grâce à des appuies comme les éviter. De plus, certains terrains entravent tes capacités. Tu as quelques difficultés avec le sable, car les vibrations de la terre sont « floues ». Tu es peut-être capable de gagner un peu de terre en compressant le sable, mais cela te demande pas mal de concentration et ce n’est qu’une question de 10 secondes. Tu possèdes une aversion pour être dans les airs et près de l’eau, car tu ne peux pas sentir ton environnement sans tes pieds en contact avec la terre ferme. En effet, ta principale faiblesse et, que tu dois être constamment connectée à la terre qui te permet de « voir ». De plus, le fait que tes pieds soient à l’air libre, les rendent plus faciles à « attaquer ». En parlant d’eau, tu ne sais pas nager et les temps de neige ou même marcher sur de la glace, te compliquent sérieusement les choses.

Ton autre limite est, qu’en considérant ton second alter, tu ne peux user les deux en même temps. En effet, cela te demanderait trop de concentration et d’énergie si tu usais des deux. Cela ne signifie pas, que tu es incapable de les utiliser tous les deux. C’est juste qu’il faut que cela soit à la suite de l’autre et encore, tu as une limite de 30 secondes pour changer. De plus, utiliser ces deux compétences, t’obligeras à te reposer un moment pour récupérer entièrement. En effet, si le don de la terre vient de ton paternel, tu possèdes la capacité de manipuler le métal tout comme ta mère. Mais, parce que tu es encore en âge de grandir et te développer, tu sombres souvent dans un sommeil profond si, tu uses trop de tes pouvoirs.

Metalbending :  Tout comme pour ta manipulation de la terre, tu peux contrôler le métal et « voir » à travers-lui. Contrairement à la terre, tu dois te trouver à 8 mètres minimum du métal qu’importe sa quantité, sa taille etc. Tu peux détecter même, la présence la plus infime de métal, même dans un corps humain. Cette capacité, te permet ainsi, d’être plus en alerte pour les personnes qui sont dans les airs et qui porte du métal qu’importe la distance à laquelle ils se trouvent. Tu peux te créer des armes dans cet alliage, manipuler cet « élément » sous toutes ses formes sans être obligée de « toucher ». Par conséquent, tu peux repousser tes adversaires en utilisant le métal qu’ils possèdent (vêtements, armes, etc). Comme pour la manipulation de la terre, tu peux créer un énorme trou dans un mur ou une porte de métal et les restaurer à leurs états précédents.

Ses limites Malgré ta capacité à sentir le métal te permettant ainsi de sentir les présences, tu ne peux pas contrôler cette matière si tu n’es pas à 8 mètres minimum de la cible. Tu dois donc prendre le risque d’être blessée. De plus, cet alter possède d’autres inconvénients : la sensibilité aux aimants et à l’électricité. Surtout si l’électricité est envoyée dans tes armes faites de métal ou si, tu t'es enveloppée d'une "armure". C’est bien connu que le métal est conducteur d’électricité. Et puis, même tes armures ne sont pas non plus résistantes face à une force monstrueuses. De plus, tu peux garder tes deux armures (inclue aussi celle en terre) par rapport à combien de temps tu gardes ta respiration. C'est valable pour les deux !

Même traverser la terre, la roche et le métal, cela dépend vraiment de ta respiration qui est de deux minutes. Au delà, tu peux t’étouffer.

Autres compétences : Malgré ton manque de vue réelle, tes autres sens, surtout ton sens du toucher et de l'ouïe, sont particulièrement aigus. Ces derniers, te permettent d'utiliser ton sens sismique à des niveaux remarquables. Avec ton dernier sens, tu ne peux pas oublier une voix, et entends mieux qu’un humain normal qui a tous ses sens, au point d’entendre un « murmure ». Tu possèdes aussi un talent artistique de sculpture. Grâce à ton entraînement spartiate qu’on t’a obligé de faire dans cette école à Londres, tu affiches une excellente agilité pour quelqu’un qui préfère avoir ses pieds plantés sur le terrain. Il ne faut pas non plus oublier ton sens de l’équilibre et tes muscles. Tu as assez de muscles dans le cou pour transporter un panier d’épicerie plein sur la tête.



13 bougies × Civil/ anciennement "vilain" × Blind Bandit
né(e) le 1 novembre 2003 à Nottingham.
Nom de Héro Empress of the Earth
de nationalité Anglaise
préférant les hommes
et se trouvant célibataire

Super IRL !

mon pseudo web c'est Falengies
j'ai 22
et j'ai découvert MHA Top site !
d'ailleurs je pense que Un forum sur un manga que j'adore actif que demandez de plus ? Toshi peut-être ?  : sortie: Bravo, au staff pour ce bijou.

 

qualités
Indépendante × Honnête × Protectrice x Aventureuse × Courageuse × Confiante en tes capacités × t’entraîner × manger des pizzas et des hamburgers × jouer des tours x taquiner les autres × Sculpture × Reconnaitre et se rappeler d’une voix (c’est ainsi que tu reconnais une personne puisque, tu es dans l’incapacité de visualiser son visage) x Tu as fait partie d’une rébellion contre l’ancien directeur de ton ancien établissement avec d’autres élèves x Tu as sauvé un homme politique important pour une mission. X Inébranlable x te moques de ce que les autres pensent de toi bien qu’au fond, cela te touche x Loyale envers tes proches x Tu es du genre à t’acquitter de ta dette x Tu te moques toi-même de ta cécité en n’hésitant pas à faire des blagues dessus x Tu aimes t’amuser, jouir de la liberté qu’on t’a longtemps interdit x Dormir dehors à la belle étoile est ce que tu préfères x Déterminée x Tu ne te soucies pas des apparences puisque tu es aveugle x Tu apprends rapidement x Imaginative x Endurante x Persistante x Ne restes pas sur un échec, au contraire, ton côté mauvaise « perdante » te pousses à toujours à te relever. Car, tu aimes combattre les adversaires puissants. x Tu ne rechignes pas à la tâche d’aider les autres x Tu aimes jouer la comédie, imiter les autres ainsi que danser même si tu as l’air d’être ridicule x Tu portes un amour profond pour les animaux x Patiente x tu lis le braille et l’écrit x Tu aimes montrer à tout le monde, que ce n’est pas parce que tu es aveugle, que tu es limitée et faible. Tu veux prouver à tout le monde, que tu es forte. C’est ta façon à toi de montrer que tu existes × Tu assumes parfaitement ton côté « Tom Boy » qu’on surnomme plus communément : garçon manqué × Tu montres ton affection à une personne en lui assénant un coup de poing sur le bras plus ou moins fort × Malgré ton côté « dure » que tu peux afficher, tu es très tactile. Tu n’es jamais contre un câlin de groupe par exemple × Tu t’es fait le serment de ne plus ôter la vie si ce n’est, qu’en cas extrême de légitime défense.
défauts
Bien que très instruite sur les codes de « bonne conduite », tu fais tout pour ne pas les suivre et te montre « vulgaire » en crachant, posant tes pieds « sales » sur la table avec les bras croisés etc × Tu peux te montrer provocatrice, railleuse × Menteuse x manipulatrice grâce à tes talents de comédienne × Curieuse × Tu fais souvent des grimaces × Tu as peur d’être dans les airs et être dans l’eau où tu pourrais te noyer parce que tu ne sais pas nager × tu détestes les légumes × tu ne supportes pas qu’on ait pitié de toi à cause de ta cécité, qu’on te regarde de haut x Tu n’accordes pas ta confiance si facilement au premier venu × Tu peux te révéler vraiment trop franche × Bornée x Ta faiblesse est d’être inutile, que tout le monde t’abandonne x Etant plus sensible que n’importe qui au niveau de la plante des pieds, tu ne supportes pas qu’on te les touches même pour te les laver x Dans ton ancien établissement, même si c’était avec un « enseignant » ou bien, un « partenaire », tu as quand même tué des gardes ou blesser gravement ces derniers pour obliger des personnes importantes sur le territoire de la Grande Bretagne à abdiquer ou bien, les forcer à faire des transactions douteuses avec les partenaires du directeur de ton ancien établissement. X Tu as détruit des maisons, afin d’effrayer les cibles. Tu as effectué plusieurs tâches dangereuses pour le compte du directeur de ton école. X Lors de votre rébellion, à tes aînés et toi, dirigé par certains enseignants, tu as dû combattre d’autres enseignants et élèves de ta classe. En légitime défense, tu as tué une élève qui voulait te tuer. X Cette guerre entre étudiants et corps professoral t’as atteint plus que tu ne le montres, il t’arrive d’avoir du remords pour tes actes passés. D’où le fait, que tu ne te permets pas de penser que tu puisses devenir un jour un héros. Tes mains ont versé trop de sang selon toi pour marcher dans la "lumière" x Tu voles pour te nourrir et te vêtir puisque, tu te retrouves désormais toute seule dans un pays que tu ne connais pas x Tu es assez pessimiste sur ton avenir, trop poussée dans l’obscurité depuis ton enfance, tu te vois comme un paria de la société. Malgré tout, ce n’est pas pour autant que tu ne cherches pas à vivre comme tu le souhaites ou du moins, essaies. X Rancunière, si les gens en qui tu avais confiance, t’ont fait une crasse, ils deviennent à tes yeux des ennemis.
Mon personnage est représenté par

Code:
<span class="Rouge">►</span> AVATAR : THE LAST AIRBENDER_ Toph Beifong _ Alexiel Heargreaves





❝ Plus Ultra !! ❞

Tout passé existe

Acte 1

Poupée de porcelaine d’apparence, tu es née un mois d’hiver, le jour où on honore les défunts. Était-ce un coup du destin ? Qui sait… Dans cette ville d’Angleterre, tu as poussé tes premiers cris dans un des meilleurs hôpitaux. Tes parents étaient heureux même si, ils auraient préféré avoir un fils. Un fils dont ils seraient fiers de présenter à l’un des meilleurs établissements de Grande-Bretagne. Toi, qui étais encore si innocente, tu ne savais pas ce qui se tramait dans l’ombre. Comme le dit le proverbe :

« On ne choisit pas sa famille, ni le lieu où l’on né »


Ce qui est tout à fait véridique. Tu n’as pas demandé à voir le jour dans cette famille aristocrate qui ne croyait qu’en l’argent. L’argent est souvent de mèche avec « pouvoir ». L’un ne va pas sans l’autre malheureusement. Une petite princesse ? Tu l’étais, prisonnière dans une jolie cage dorée. Tes parents, ne te laissaient jamais sortir, tu étais leur « précieuse » enfant te répétaient-ils. Ils avaient peur qu’on te vole à eux. Ta mère te répétait qu’elle ne souhaitait te partager à personne. Généralement, tu restais dans ta chambre à étudier les étiquettes de conduite en plus des matières générales. Tu n’étais qu’une enfant, un « bébé » qui savait marcher et à peine parler. Dans le manoir, on t’interdisait de courir, ils t’ont forcé à porter des bambous pour te forcer à te tenir droite dans ta démarche ! Une Heargreaves doit apprendre à se tenir devant la foule. Ta vie, était morne, rigide et pleine d’hypocrisie. De ta fenêtre, tu regardais les oiseaux qui avaient élu domicile sur les branches de ton grand chêne. Parfois, tu voyais les enfants de l’autre côté de la rue qui marchaient main dans la main avec leurs parents.

Toi, tout ce que tu avais droit, c’était des coups de règle sur la tête ou sur les doigts, une froideur masquée par de faux-semblants. Tes parents étaient toujours au travail pendant que toi, tu restais cloitrée chez toi. Sortir dans le jardin était rare. Il te fallait une autorisation qu’on ne te donnait pas souvent ! Tous les jours, on épiait tes faits et gestes.

Tu n’avais que 3 ans et pourtant, tu avais l’impression d’être un criminel qu’on surveillait. Tes parents d’origine chinoise, assez traditionnels ont essayé sur toi une nouvelle « torture » que jusqu’aux années 1900 les filles chinoises subissaient. Ils t’ont obligé à te bander les pieds si serrés pour te forcer à avoir de si petits pieds. Une preuve de noblesse ils t’ont dit. Tu souffrais dans tes jolis souliers. Marcher était si difficile. Tu ressentais la sensation d’avoir des chaines en métal à tes chevilles.  A chaque fois, tu faisais tout pour ne pas remettre ces entraves.

« Il faut souffrir pour être belle »


Cette phrase que ta mère te murmurer au creux de l’oreille. Tu n’étais peut-être qu’une enfant, mais tu n’étais pas stupide. Comment, ne pouvait-elle pas voir que ceci ne t’offrait que souffrance ? Peut-être que c’est à partir de ce moment, que tu as commencé à avoir un caractère de sauvageonne ! Tu mordais, te débattais, jeter des coups de pied afin de résister à ces entraves. Tes efforts ont payé le jour de tes 4 ans.

Lors d’une énième tentative de « fuite », sous la colère, ton pouvoir de la terre se manifesta au point que tu fis trembler le sol et créas une fissure dans le mur de ta chambre qui effraya ces femmes de chambre. Ces dernières arrêtèrent leurs tentatives de te soumettre à cet acte de barbarie ! Tes parents, furent rapidement alertés. Tu t’étais préparé à te faire gronder, tu as même continué à détruire un autre pan du mur de ta chambre lié à l’une des salles de bains ! Tu ne souhaitais pas recevoir de nouveaux mauvais « traitements ». Cependant, tu devins estomaquée quand le sourire heureux de ta mère entra dans ton champ visuel et qui, s’élargit quand tu lui lanças ton réveil métallique sur elle qu’elle stoppa net.

Tu fus la première surprise ! Tu possédais deux alters ? Celle qui t’a mise au monde te parla de son ton le plus mielleux pour te féliciter. Ta « colère » s’arrêta aussi soudainement qu’elle était venue. Tu te rappelles encore, lui demander de ta petite voix d’antan, confirmation sur le fait qu’elle ne soit pas contrariée par les dégâts occasionnés par tes soins. Sa réponse fut une embrassade. La première qu’elle t’offrit à tes souvenirs, mais aussi la dernière. Ton père aussi semblait étrangement de bonne humeur quand, ta mère lui raconta que tu possédais leur alter à chacun ! Pour la première fois de ta vie, ces derniers te permirent de rester dans le jardin autant que tu le souhaitais et surtout, de manger tout ce que tu souhaitais. De la poudre aux yeux, voilà ce qu’ils t’ont jeté pour mieux t’endormir mon enfant !

Si, cette journée à l’époque te paraissait être la meilleure, aujourd’hui, c’est l’un des pires que tu t’interdis d’oublier. En effet, le lendemain, il y avait un homme en costume cravate, portant des lunettes noires. Il t’effrayait, il n’inspirait que froideur et « mort ». Ta mère t’avait vêtu de ta plus belle robe pour l’accueillir, mais pas seulement. Tes affaires furent mises dans plusieurs valises, qu’on installa dans le coffre de la limousine qui stationnait devant le portail de la demeure familiale. Qu’est-ce que cela signifiait ? Tes parents t’informèrent que tu partais pour la meilleure école de Super-héros du pays : Mycroft Academy. Le système était que cette académie, contrairement à Yuuei, accueillait les enfants dès la « maternelle », faisait primaire, collège et lycée, et même fac. Évidemment, les parents n’étaient pas obligés d’envoyer leur progéniture à si bas âge chez eux. Ils pouvaient refuser. Ceci dit, cet établissement à Londres, était réputé pour former de grands-héros. Dit comme ça, c’était alléchant, mais la vérité était tout autre et toi mon enfant, tu le découvris bien assez vite.

En effet, la réalité est que tu venais d’être vendue par tes parents. Cet établissement offrait de très grosses sommes d’argent en échange des enfants possédants des alters qui l’intéressait. Tes parents t’affirmèrent que tu t’amuserais, que tu pourrais enfin rencontrer d’autres enfants comme tu le souhaitais. Tes parents possédaient les bons arguments pour endormir tes doutes et ta méfiance ! Sortir de ce manoir, était pour toi un envol vers la liberté ! Ton père te prit dans ses bras en te rappelant que tu te devais d’être la meilleure quoi qu’il arrive, ce à quoi tu lui répondis positivement avec fierté et naïvement ! C’est ainsi, que tu entras dans cette limousine, un grand signe de la main en guise d'au revoir en leur promettant de revenir pendant les « vacances ». Cependant, tu n’y as jamais remis les pieds et, as coupé tous contacts avec eux.

En effet, sur le chemin qui te menaient à ton nouveau « chez toi », n’était rien d’autre qu’une prison que tu allais apprendre rapidement à tes dépens.

Acte 2 :

L’établissement, était magnifique… On aurait cru un Palais. Il était protégé et, seuls les étudiants, corps professoral pouvaient y entrer ainsi que ceux qui avaient une autorisation délivrée par le directeur. Les murs étaient grands et au-dessus de ces derniers, invisibles à l’œil nu, il y avait une barrière signalant ceux qui tentaient de fuir ou d’entrer à l'image d'une alarme aidé par des caméras. Lors de ton arrivée, tu as rencontré un garçon, plus âgé que toi qui sauta du mur cependant, celui qui t’accompagna l’arrêta brutalement ! Tu n’osais pas bouger, pourtant cet échange visuel avec ce jeune inconnu, te confondis. Tu avais l’impression que ce garçon après une minie bataille qui s’est déroulée devant tes yeux, appelait silencieusement à l’aide. Tu osas interroger cet homme qui était en fait, ton professeur principal : Personna, si le garçon qu’il avait arrêté allait bien. Ce dernier te dit, que c’était un des élèves avec le plus grand taux de tentatives de fuite. Cependant, aujourd’hui, il avait dépassé la limite. Par conséquent, il te prévint qu’il serait « puni » comme il se doit ! Cela te donna froid dans le dos. Cet homme… Tu ne lui faisais pas confiance. C’est avec une boule au ventre, que tu le suivis, une fois qu’il remit l’élève inconscient à un autre de ses collègues pour te mener à ta chambre où tes affaires t'attendaient. Chambre, qui était dans un bâtiment mis très à l’écart de l’autre internat. C’était beaucoup plus sombre que ta chambre de chez toi, mais elle était spacieusement et joliment décorée. Personna t’informa que vous n’étiez pas nombreux dans ce dortoir. Que ce dernier regroupait d’autres étudiants qui, comme toi faisaient partis de la « classe spéciale ». Il ne t’en dit pas plus et, te donna un emploi du temps pour te dire qu’on viendrait te chercher pour te mener à tes classes. Il demanda à un autre étudiant plus âgé que toi, de te faire visiter l’académie et, parce que tu étais la plus jeune, ce serait lui qui était chargé de veiller sur toi ! Tu mentirais en disant, qu’il ne t’effrayait pas. Ce dernier ne pipait pas un mot, mais tu remarquas qu’il portait un étrange collier autour du cou. Celui-ci semblait projeter des décharges électriques. Tu osas demander au bout d’un moment l'intérêt de posséder cet objet autour du cou, et tout ce que tu as eu droit, c’est de te faire étrangler avec une mise en garde :

« Si tu ne veux pas « mourir », mieux vaut ne pas poser de question ».

Peut-être que pour toi, ma chère enfant, il aurait été préférable que tu suives ce conseil. Car, le côté « beau » n’était que la surface de l’Iceberg de cette institution. Tout le monde est aveuglé par le côté « magnifique », les belles paroles qui camouflaient la laideur de cette école. Tu as cru, qu’il allait te tuer si, le président de sa classe n’était pas intervenu pour te sortir de là. Ce dernier aussi, semblait aussi taciturne que ton agresseur. Ta première journée en ces lieux fut des plus mouvementées en te laissant le sentiment étrange que tu as assisté à quelque chose que tu n’aurais jamais dû voir.

Le lendemain, dès ta première journée de classe où tu te retrouvas esseulée, tu appris le fonctionnement de Mycroft Academy. Le lundi au vendredi, les élèves suivaient des cours normaux au niveau de leurs âges, ce n’est que le week-end, qu’ils se retrouvaient dans une autre classe choisie selon l’alter de chacun. Ce qui signifiait, que les week-ends, les cours, activités changeaient selon la classe attribuée. La semaine, tu étais donc seule, le week-end par contre, tu te retrouvais dans cette classe spéciale (dangereuse) où tu retrouvais les étudiants partageant le même dortoir que toi. Tu te rendis bien compte, que tu étais dans la même classe que les trois garçons rencontré le premier jour. Cette classe, contrairement aux autres classes différait en tout points avec les autres. Aucun étudiant, et même le reste des enseignants qui n’en faisaient pas partis, ne savaient pas ce qu’on y faisait. Ils considéraient juste cette classe, regroupant les élites. Peut-être que ce n’était pas entièrement faux, cependant, ceux qui se trouvaient là, étaient ceux dont on avait catégorisé leur pouvoir de dangereux !

Cette classe, pourrait être comparée à la classe A (héroïque de Yuuei). Toi poupée de porcelaine, qui pensais que tu serais libre, tu te rendis compte que tu étais encore plus prisonnière qu’avant ! Tout ce qui passait dans cette classe, était confidentiel. Si tu enfreignais les règles, tu risquais d’être sévèrement punie tout comme, ce « garçon » prisonnier dans un cachot. Il ne participait qu’aux cours grâce à son alter de projection astrale. Vous vous entraîniez à maîtriser vos alters sur des terrains d’entraînements sous-terrain mis à votre disposition, mais vos neurones étaient aussi mis à l’épreuve par rapport à la théorie sur des évènements, des plans d’actions. À cette époque, tu ne savais pas encore que vos réponses qui devaient aider à sauver des vies comme votre professeur principal vous le disait, servait au contraire à sacrifier des vies.

Tu t’es liées petit à petit d’amitié avec les étudiants de ta classe. Cependant, cela ne te passa pas inaperçu que certains disparaissaient mystérieusement, d’autres revenaient blessés de l’infirmerie. Au bout de quelques mois, tu appris qu’ils étaient envoyés en mission par votre enseignant sur ordre du Directeur. Tu ne supportais pas cette vie, tu souhaitais partir, surtout après avoir été témoin de la mort de l’une de tes camarades de classe. Cette dernière à qui tu as tenu la main jusqu’à son dernier souffle ! Elle n’avait que 11 ans, tu la considérais comme ta grande sœur. Sur ce lit de mort, avant qu’elle ne ferme définitivement les yeux, elle te confia que si, l’établissement donnait de grosses sommes d’argent, c’était pour empêcher les familles de porter plainte contre cet établissement, surtout si vous, de la classe spéciale, il vous arrivait quelque chose. Qu’à sa mort, ses parents recevraient sans doute des indemnités et qu’ils ne chercheraient pas plus loin ! De cette façon, aucun héros ne découvrirait le destin qu’est le vôtre, vous élèves de la classe spéciale. Cette vérité t’horrifia, jolie poupée, tu souhaitais faire éclater la vérité ou du moins, être certaine ! Cependant, tu n’en eues jamais le loisir !

En effet, peu de temps après, avant même tes 5 ans, pour t’empêcher de parler, pour te forcer à rester prisonnière et t’utiliser comme une marionnette, car tes pouvoirs étaient très intéressants et dangereux au point d’avoir besoin de tes capacités, ils t’enfermèrent dans une de leurs cellules de redressement et, t’ôtèrent l’un de tes sens les plus importants : la vue à l’aide du feu ! Tu avais beau hurlé sous la douleur, c’était ta punition, une prévention pour la bêtise que tu t’apprêtais à commettre t’ont-t’ils dit ! L’infirmière possédant un alter pour soigner, veilla juste sur toi afin que tu ne succombes pas à une hémorragie. C’est ainsi que de la belle chambre, tu te retrouvas dans cette « cellule » où tu ne pourrais atteindre personne et que tu fus plongée dans l’obscurité la plus totale.

C’est de cette façon que tu es devenue infirme, abandonnée par tous, petite poupée, obligée de suivre l’entraînement qu’on continua à te donner et surtout, à user de tes « dons » à des fins sombres.

Oui, toi, Alexiel Heargreaves, ton rêve de devenir un super-héros, prit fin à cet instant.

Acte 3 :


Celui qui possédait la télépathie et la télékinésie, qui était piégé tout comme toi dans la cellule juste à côté de toi, lui dont le corps était entravé par des chaînes, muscles paralysés à cause d’injections, vous étiez traités comme des parias. C’est, aussi de cette façon que vous êtes devenus une « famille ». Vous communiquiez tous les deux à l’insu de ces adultes. Plongée dans la pénombre, tu t’entraînais et devins plus proche de la terre que jamais. Cependant, pour ne pas te faire attraper, tu décidas d’incarner la poupée brisée qui n’avait plus de volonté. Ce qui n’était pas si loin de la vérité, tu étais brisée de l’intérieur et, au début sans l’aide des autres tu, ne pouvais pas te déplacer librement. Dépendante des autres tu fus. Les deux autres personnes qui connaissaient ton état, étaient aussi ceux, qui se retrouvaient souvent en cellules pour être corrigés. Vous étiez là, tous les 4. Coupés du monde ! Pourtant, cela ne te dérangeait pas, tu n’étais pas seule, ils étaient tous les trois près de toi. La famille que vous n’aviez plus, chacun de vous la trouva au contact de chacun ! C’est ainsi, que vous tous, vous vous êtes mis à décider d’agir en silence. De jouer votre rôle de parfaits instruments. Vous n’étiez pas au courant de toute la vérité. Vous pensiez que vos actions, permettaient d’arrêter des vilains.

Étrangement, tu t’es faite à l’idée que ta vie serait ainsi jusqu’à ta mort ! Tu n’étais pas la seule à le penser. Vous le faisiez tous les 4, ainsi que vos autres camarades qui ne succombaient pas à leurs blessures ou aux effets secondaires de leurs alters. Petit à petit, en autodidacte, avec les années, tu développas ton sens sismique, tout comme, tu ressentais mieux la présence de métal. Cependant, lors de tes entraînements à la vue des autres ou bien, lors des missions, tu préférais les garder pour toi ! Tu étais effrayée à l’idée qu’ils puissent te briser les jambes si jamais, ils apprenaient ce dont tu étais capable ! C’est lors de la tentative d’enlèvement de Kevin gravement affaibli lors de sa dernière mission, par un ancien élève de l’établissement, qui souhaitait le vendre à une organisation mafieuse, que Allan et toi, avez profité du « chaos » pour vous échapper afin de pouvoir sauver votre « frère » d’armes. C’est là, que vous avez appris toute la vérité et, que tout ce qu’on vous dit depuis votre arrivée, n’était que tissus de mensonges. Vous avez combattu et, encore une fois, tu t’es retrouvée blessée, mais tu as su défaire ton ennemi tout comme tes deux aînés. Malheureusement, ils étaient trop nombreux et vous auriez pu périr si, d’autres élèves d’autres classes ainsi que enseignants n’étaient pas intervenus. Vous trois, Kevin, Allan et toi, en avez profité pour leur dire tout ce que vous saviez. De ce que vous faisiez en réalité. Que ce n’était pas les professeurs qui se chargeaient des missions pour l’école, mais vous, les élèves de la classe spéciale.

Cette annonce, ne fut pas crue par tout le monde, pourtant certains enseignants qui vous suivez la semaine, vous prirent au sérieux et décidèrent d’enquêter de leurs côtés. Sauf que sur le moment, il fallait que tout le monde s’accorde à jouer la comédie pour que vous trois, ne souffraient pas d’autres punitions corporels ou psychologiques. De retour à ton rôle de poupée de porcelaine, tu ne pipais plus de mots. Tu restais dans ton coin comme on te le demandait. Silencieuse, tu étais, pourtant tes oreilles indiscrètes étaient prêtes au moindre affût. Tu servais d’objet de décoration qui était sous surveillance, mais tu t’en étais déjà accommodée depuis longtemps de ce statut. Tu n’oubliais aucune des voix que tu entendais. C’est aussi un entraînement personnel que tu faisais à l’insu des autres. Tu devais te préparer pour cette « guerre » qui se préparait dans l’ombre. Cela vous permettrait à toi et tes frères de cœur, de pouvoir jouir de cette liberté tant volée même si, pour toi ta vie était brisée. Cependant, ton but était d’empêcher d’autres élèves à sombrer comme toi. Que la lumière ne s’éteigne pas pour eux ! C'était ce qui te poussait à continuer de te lever chaque matin, d'incarner cette pièce de collection si fragile. Il te fallait être patiente, mais tu avais enfin l’espoir en voyant ton professeur de la classe de la semaine, que celui-ci était de votre côté et, qu'il n'était pas le seul. Le directeur allait répondre de ses actes.

C’est ce qui vous faisait tous tenir pour continuer d’accomplir des actes qui vous révulsez pour n’éveiller aucun soupçon.

Acte 4
L’heure que vous attendiez tous, arriva. C’était l’été de tes 12 ans. L’école se scinda en deux et, une guerre intérieure fit rage ! Toi qui étais toujours avec tes trois aînés, tu te retrouvas soudainement séparée d’eux. Vous vous étiez promis de ne pas mourir, de revenir sains et saufs au portail. C’est là, que tu as pu montrer tes talents, mais pas seulement toi, les autres aussi. Tu as été forcée de combattre contre une fille de ta classe spéciale, qui servait le directeur corps et âme. L’affrontement fut le combat le plus éprouvant que tu aies connu. Tu t’es retrouvé à être projeté du 4ème  étage. S’il n’y avait pas eu le feuillage d’un arbre et un buisson pour ralentir ta chute, tu aurais pu terminer sur un fauteuil roulant pour le restant de tes jours sans bouger. Pourtant, cette chute te foula le poignet et la cheville. Tu usas de toute ton énergie afin de détruire ce pan de la bâtisse afin qu’elle chute à son tour. Il y avait des cris divers qui se faisaient entendre tout autour de toi. Malgré ça, tu restas concentrée sur ton adversaire. Elle était plus âgée que toi. Elle manipulait le sang et, ce serait mentir de dire que tu n’as pas eu le sentiment de voir ta vie défilée devant tes yeux à plusieurs moments. C’est ta détermination à en découdre, qui te permis de repousser les limites de ton corps en lambeaux sans oublier, cette promesse que vous vous étiez faites tous les 4 ! Tu attendis qu’elle s’approche de toi, afin de la transpercer en plein coeur avec une lance en métal que tu as faite au dernier moment pendant que toi, tu reçus une balle à l’épaule. Ce fut ta dernière victime connue à ce jour. Tu étais incapable de visualiser son visage, pourtant, tu pouvais sentir ce liquide chaud couler sur tes mains, sentir son état grâce aux vibrations et de la terre et par rapport à l'intensité de son souffle qui brûlait ton visage.

Tu rejetas au loin ce corps. Tu t’es mis à ramper comme un serpent vers les présences que tu ressentais. Cette bataille interne, fit beaucoup de morts. Des deux côtés, vous avez perdu énormément et, tu n’assistas pas à la fin de cette guerre. Tu perdis connaissance, en protégeant un élève de 5 ans de ton corps pour te prendre le coup en traître à sa place. Ton dos encaissa la décharge électrique où dans un dernier élan d'énergie, tu décidas de contre attaquer en piégeant les jambes de ton assaillant grâce à la terre. Ce fut ta dernière action.

Jolie Poupée, tu te réveillas 6 mois plus tard dans un lit d’hôpital. Toute seule, personne pour t’accueillir. Tu commenças à paniquer et te mis à bouger et arracher les aiguilles de transfusion qui fit sonner cette étrange machine que tu ne connaissais que trop bien. La douleur à tes bras était horrible, mais plus que tout, tes jambes… Ces dernières ne te soutinrent pas et tu t’affalas de tout ton long. Tu te mis à crier, à appeler Allan, Camus et Kevin. Ces différents bruits alertèrent les médecins et des officiers de l’ordre pour t’interroger et te dire ce qui en était.

C’est là que tu appris, que beaucoup d’étudiants et de professeurs des deux côtés étaient tombés. Que le directeur ait avoué ses crimes et qu’il était emprisonné au Japon, là où se trouvaient les meilleurs héros de la société. Tu te fichais de cela, tout ce que tu souhaitais, c’était de savoir ce qu’était advenus tes « grands-frères ». Personne ne put te donner une réponse concrète si ce n'était qu'ils n'étaient plus. Que tu devrais remercier les super-héros qui étaient intervenus après qu’ils aient eu les preuves contre ce directeur et ses manigances. Héros ? Combien de morts auraient pu être évitées s’ils, n’avaient pas attendus la confirmation des actes malhonnêtes de cet homme qui était réputé pour être « bon » ? Allan, Camus, Kevin… Où étaient-ils ? Tu serrais les dents. 6 mois dans le coma tu es restée. Ils ne pouvaient pas être morts n’est-ce pas ? Ils te l'ont promis. Ils t'avaient juré qu'ils ne mourraient pas. Que vous vous retrouverez et partirez tous les 4 dans un endroit loin de tout. Quant à tes parents, ces derniers avaient mystérieusement disparu et que par conséquent, tu hériterais de leur fortune à ta majorité. Tu ne souhaitais plus rien entendre, tu souhaitais qu'on te laisse tranquille, surtout que cette nouvelle sur ta famille ne te faisait ni chaud, ni froid. Tu leur crias de sortir de ta chambre !! Cette absence de réponse, te déchira, mais plus que tout, qu'est-ce que tu allais devenir ? Désormais, tu ne pouvais plus compter que sur toi-même !

L’histoire sur cette école, fit le tour du Monde. Les noms des élèves comme toi et des enseignants, restèrent cependant anonymes. Tes actions, ne te furent pas reprochées non plus, mais cela ne signifiait pas que le poids de la culpabilité envers tes actes aient disparu. N’ayant plus personne, plus d’endroits où aller. Qu’au vu de ton âge, il était préférable de te mettre dans un orphelinat tout en étant sous la tutelle des forces de l’ordre. En effet, d’autres vilains du côté du directeur s’étaient enfuis. Il était préférable que pour quelque temps, tu quittes le pays où tu serais sous la protection de la police. Ce fut, la décision de ces hommes qui ont fermé les yeux trop longtemps sur votre situation à tous. Ton avis, ne comptait pas. Le temps de te trouver un foyer, une nouvelle famille ou du moins un tuteur qui aurait le coeur sur la main.  Tu étais cependant heureuse, que beaucoup aient retrouvé les bras de leurs famille.

C’est ainsi, qu’on t’envoya au Japon sans demander ton avis, dans un orphelinat avec d’autres enfants. A la différence d’eux, que tu étais aveugle et étais dans un fauteuil roulant. La vérité, est que tu es capable de marcher, après la rééducation que tu t’es forcée à faire pour muscler de nouveau tes jambes. Tu as continué de faire des exercices, jusqu'à ce que toutes les pores de ton épidermes te hurlent d'arrêter. Quand, tu fus de nouveau mobile, tu repris les arts martiaux. Tu t’es forcé à le faire afin de pouvoir « vivre » pour eux « trois ».

Tu fus installée dans une nouvelle "vitrine" qui représente cet orphelinat que tu détestes. Comme si, des parents allaient t’adopter. Généralement, ils préfèrent des enfants en bonne santé. Tu détestes cet endroit, car ils ne masquent pas la pitié qu’ils ont à ton égard. Tu as l’air d’être un numéro de cirque !

C’est ainsi qu’est ta vie depuis quelques mois au Japon, toujours seule dans ton coin en train de lire et d’étudier ou bien sculpter. Tu ne parles à personne. Personne ne connaît ta vie. Conformément au rôle d’avant, tu continues de jouer cet objet si « friable ». Par contre, quand tout le monde est endormi, tu sors de ta chambre pour aller visiter les rues en cachant ton visage à l’aide de ton ancien masque de lapin que tu portais lors de tes missions pour le compte de Mycroft Academy. Seul souvenir matériel qui te reste de cette vie en Angleterre. En effet, les autres souvenirs, sont incrustés dans ta mémoire et à l’intérieur de ton cœur.

Ce n’est que la nuit tombée, à l’insu de tous que tu « vis » réellement. Tu t’amuses parfois avec des enfants des rues. Tu te mêles à cette foule avec cette cape et ce masque, où tu es invisible et, tu ne rentres qu’au lever du soleil ou, telle que Cendrillon aux 12 coups de minuits, tu redeviens poupée de chiffon cloué sur ta chaise à 4 roues et laissant jusqu'à la nuit tombée, cette jeune vagabonde aventureuse indépendante.

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